«Mai 1973, j’achète une caméra. Je commence à filmer moi-même et pour moi-même. Le cinéma professionnel ne m’attire plus. Je filme jour après jour à la recherche d’autre chose. Je cherche avant tout l’anonymat. Il me faut du temps pour apprendre à le faire».
C’est par ces mots que David Perlov ouvre son journal cinématographique, tourné durant trois décennies, en 16 mm puis en vidéo, et considéré aujourd’hui comme l’oeuvre la plus marquante de l’école documentaire israélienne.
Ariel Schweitzer, Cahiers du Cinéma.
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